Conseil Fleurs de Bach

Les fleurs de Bach n° 62

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À quel moment savoir si l’on a un problème de boisson?

a quel moment savoir si l’on a un problème de boisson

Beaucoup de personnes vont apprécier des verres et la plupart d’entre nous font le choix d’apprécier d’avoir une consommation d’alcool social de temps en temps. Peut-être de partager une bouteille de vin avec un ami un soir par semaine ou d’avoir un verre après le dîner. Dans des occasions spéciales, nous sortons et apprécions un peu plus. Cela n’est pas un problème. Mais qu’arrive-t-il quand le verre de vin occasionnel ou la bière d’après le travail deviennent vraiment un schéma régulier ? Quand savoir quand ces boissons ont dépassé la limite d’une chose modérée que l’on fait de manière sociale pour devenir un réel problème ?

Le fait est que l’effet de la quantité de boisson va varier d’une personne à l’autre. Certains d’entre nous pourront boire plus que d’autres et cela ne cause pas de problème sur le court terme, il est donc difficile de savoir où placer la ligne de limite entre la consommation sociale et le problème de boisson. Vous devez savoir si la quantité que VOUS buvez est une source de problèmes pour vous ou non.

L’alcoolisme et l’abus d’alcool peuvent parfois s’immiscer en vous alors que votre attention est prise ailleurs. Vous devez faire attention aux signes avant-coureurs. Parfois, ces signes peuvent être subtils et vous pourriez ne pas les remarquer et voir que vous avez un souci de boisson. Voici certains signes et symptômes que vous devriez garder à l’esprit.

Les signes que vous avez un problème de boisson

Vous sentez-vous coupable ou honteux à propos de ce que vous buvez ?

Cachez-vous la quantité de ce que vous buvez, peut-être vous débarrassez-vous des bouteilles ou canettes avant que d’autres ne le remarquent ?

Est-ce que vous avez déjà eu des réflexions sur la quantité que vous buviez ?

Quand vous voulez vous détendre, vous dirigez-vous directement vers quelque chose à boire ? Est-ce que le fait de boire est le seul moyen pour que vous puissiez vous détendre ?

Êtes-vous triste si vous allez quelque part et qu’il n’y a pas d’alcool ?

Quand vous êtes sobre, regrettez-vous certaines choses que vous avez faites ou dites quand vous avez bu ?

N’avez-vous jamais été au point où vous avez pu et que vous avez oublié ce que vous avez fait ou dit ?

Est-ce que vous commencez toujours avec de bonnes intentions en essayant d’avoir juste un ou deux verres et que vous arrivez toujours à boire plus que ce que vous aviez prévu ?

Buvez-vous beaucoup quand vous vous sentez déçu ou stressé ou triste ?

Buvez-vous alors que vous conduisez ? Buvez-vous alors que vous devez utiliser des machines ? Buvez-vous malgré le fait d’avoir à prendre des médicaments ?

Est-ce que la boisson affecte votre interaction avec les autres ? Est-ce que cela amène à des disputes ? Des mots avec vos amis ? Est-ce que votre partenaire se fâche ? Est-ce que vos enfants vous évitent ?

Avez-vous besoin d’augmenter la quantité de boisson pour ressentir de la satisfaction ? Pouvez-vous boire plus que d’autres personnes ?

De manière générale, est-ce que vous continuez à boire après que vos amis disent qu’ils en ont eu assez ?

Buvez-vous des quantités phénoménales pendant un certain nombre de jours consécutifs ?

Avez-vous certains symptômes physiques de manque ? Par exemple, quand vous êtes sobre, ressentez-vous certains des points suivants :

  • Anxiété, nervosité, dépression
  • Des tremblements
  • Des nausées et vomissements
  • Des suées
  • Capacité à dormir
  • D’humeur irritable
  • Les maux de tête
  • De la fatigue
  • Des hallucinations
  • Des convulsions ou spasmes

Voulez-vous vous arrêter de boire, avez-vous essayé, mais l’attraction est trop forte ?

Négligez-vous vos responsabilités, que cela soit, à la maison, au travail ou socialement ? Cela pourrait être à cause de vos habitudes de boisson ou que vous récupérez d’une beuverie.

Blâmez-vous les autres ? Un partenaire qui ne vous comprend pas, votre patron, vos parents ?

Que faire ensuite ?

Vous pouvez abuser de l’alcool en buvant trop et trop régulièrement par exemple, mais vous ne vous considérez pas comme alcoolique. Le problème est que la ligne entre les deux est fine. Un petit changement dans votre vie et vous pourriez vous diriger dans cette spirale infernale. Vous pourriez avoir un deuil, une rupture, une perte d’emploi ou un autre traumatisme. Serez-vous capable de maîtriser vos excès ? Vous êtes dans un risque très sérieux.

Si vous rationalisez vos habitudes envers l’alcool que vous mentez à propos de cela ou refusez catégoriquement de discuter de ce sujet alors vous devriez sérieusement considérer cette situation. Admettre que vous avez un problème est la première étape. Vous allez avoir besoin de courage et de force pour faire face à cela, mais l’aide existe et est disponible, prenez-la de vos deux mains.

Créé par Tom Vermeersch ()

Tom Vermeersch

Tom Vermeersch est psychologue certifié et expert en fleurs de Bach avec plus de 30 ans d'expérience.

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Pourquoi pas moi ?

Il est naturel de comparer notre vie à celle des autres - peser le pour et le contre des situations nous aide à prendre des décisions. Mais il peut y avoir un inconvénient à se comparer constamment aux autres, à envier leur vie apparemment parfaite et à se demander pourquoi ils sont plus chanceux, plus prospères et plus beaux que vous.

Arrêtez d’être soucieux et vivez l'instant présent

De nombreuses personnes consacrent une grande partie de leur temps à se lamenter sur le passé et à s'inquiéter pour l'avenir. Mais cela est inutile ! Même ce qui s'est passé hier n'a plus d'importance ! Laissez le passé et l'avenir derrière vous et profitez de chaque instant.

Découvrez si vous souffrez du syndrome de l'imposteur

Avez-vous la sensation occasionnelle que vos accomplissements ne sont pas le fruit de votre travail et de vos compétences, mais qu'ils sont le fruit de la chance ? Et redoutez-vous qu'un jour, quelqu'un vous révèle comme imposteur ou fraudeur ? Vous avez peut-être le syndrome de l'imposteur ! 

L’importance du sommeil durant notre éveil

Le 13 mars, c’est la journée internationale du sommeil afin de pouvoir nous rappeler l’importance que ce dernier a dans nos vies. En effet, il ne faut pas négliger le sommeil qui a une importance cruciale dans beaucoup d’aspects de notre vie afin de pouvoir avoir une bonne santé aussi bien mentale que physique.

Contrer la timidité et faire bonne impression, c’est possible !

La plupart d’entre nous voudraient être comme ces personnes qui entrent à n’importe quel endroit et ont des amis qui s’agglutinent comme un troupeau autour d’eux. Tout le monde sera d’accord pour dire que ceux qui font facilement des connaissances seront probablement des personnes qui vont avoir plus de facilité dans beaucoup de choses. 

Arrêtez de tergiverser maintenant et passez à l'action !

Consultez quelques conseils pour relever le défi auquel vous songez. Le moment est venu de faire quelque chose, vous pouvez commencer dès maintenant. Lisez ce qui suit pour en savoir plus !

Pourquoi une vie sans stress ni obstacles est peu gratifiante

Le stress peut être à la fois bon et mauvais ; c'est à vous de déterminer comment vous le percevez. Mais trop de stress peut être dangereux. Pour en savoir plus sur le stress, lisez cet article !

Êtes-vous assez résilient? Répondez à notre quiz!

Avez-vous suffisamment de résilience pour affronter le monde extérieur? Répondez à notre quiz pour découvrir votre degré de résilience et trouver des conseils pour renforcer votre résilience mentale.

La plupart des gens sont-ils bons ou mauvais?

Avez-vous parfois des raisons de désespérer de l'humanité, car il semble y avoir bien plus de mauvaises personnes que de bonnes? Sommes-nous avant tout des individus égoïstes, qui ne pensent qu'à leurs propres besoins? Ou cette croyance cynique est-elle simplement due au fait que nous passons beaucoup de temps en ligne? La vérité est plus compliquée!

Étiquetons-nous trop vite ?

De nos jours, il peut parfois sembler que presque tout le monde a un problème de santé mentale ou un trouble de l'apprentissage. Mais sommes-nous trop prompts à coller des étiquettes aux gens, ou est-ce parce que nous sommes plus conscients des problèmes ? Cet article se penche sur certains des problèmes qui découlent de ces questions sensibles.

À quel moment savoir si l’on a un problème de boisson?

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Le fait est que l’effet de la quantité de boisson va varier d’une personne à l’autre. Certains d’entre nous pourront boire plus que d’autres et cela ne cause pas de problème sur le court terme, il est donc difficile de savoir où placer la ligne de limite entre la consommation sociale et le problème de boisson. Vous devez savoir si la quantité que VOUS buvez est une source de problèmes pour vous ou non.

L’alcoolisme et l’abus d’alcool peuvent parfois s’immiscer en vous alors que votre attention est prise ailleurs. Vous devez faire attention aux signes avant-coureurs. Parfois, ces signes peuvent être subtils et vous pourriez ne pas les remarquer et voir que vous avez un souci de boisson. Voici certains signes et symptômes que vous devriez garder à l’esprit.

Les signes que vous avez un problème de boisson

Vous sentez-vous coupable ou honteux à propos de ce que vous buvez ?

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Est-ce que vous avez déjà eu des réflexions sur la quantité que vous buviez ?

Quand vous voulez vous détendre, vous dirigez-vous directement vers quelque chose à boire ? Est-ce que le fait de boire est le seul moyen pour que vous puissiez vous détendre ?

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Buvez-vous des quantités phénoménales pendant un certain nombre de jours consécutifs ?

Avez-vous certains symptômes physiques de manque ? Par exemple, quand vous êtes sobre, ressentez-vous certains des points suivants :

  • Anxiété, nervosité, dépression
  • Des tremblements
  • Des nausées et vomissements
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  • Capacité à dormir
  • D’humeur irritable
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  • De la fatigue
  • Des hallucinations
  • Des convulsions ou spasmes

Voulez-vous vous arrêter de boire, avez-vous essayé, mais l’attraction est trop forte ?

Négligez-vous vos responsabilités, que cela soit, à la maison, au travail ou socialement ? Cela pourrait être à cause de vos habitudes de boisson ou que vous récupérez d’une beuverie.

Blâmez-vous les autres ? Un partenaire qui ne vous comprend pas, votre patron, vos parents ?

Que faire ensuite ?

Vous pouvez abuser de l’alcool en buvant trop et trop régulièrement par exemple, mais vous ne vous considérez pas comme alcoolique. Le problème est que la ligne entre les deux est fine. Un petit changement dans votre vie et vous pourriez vous diriger dans cette spirale infernale. Vous pourriez avoir un deuil, une rupture, une perte d’emploi ou un autre traumatisme. Serez-vous capable de maîtriser vos excès ? Vous êtes dans un risque très sérieux.

Si vous rationalisez vos habitudes envers l’alcool que vous mentez à propos de cela ou refusez catégoriquement de discuter de ce sujet alors vous devriez sérieusement considérer cette situation. Admettre que vous avez un problème est la première étape. Vous allez avoir besoin de courage et de force pour faire face à cela, mais l’aide existe et est disponible, prenez-la de vos deux mains.




Les fleurs de Bach n° 62 : Changement des habitudes de consommation

Les fleurs de Bach n° 62 aident à :

  • Surmonter les angoisses
  • Éviter les hallucinations
  • Trouver plus de calme et d’équilibre sans l’alcool.
  • Résister à la pression sociale qui nous incite à boire de l’alcool
  • Ne pas devenir dépressif à la suite de l’arrêt de l’alcool
  • Etre plus tolérant et moins susceptible
Découvrez Les fleurs de Bach n° 62
Marie Pure

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Pourquoi pas moi

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Les fleurs de Bach ne sont pas des médicaments, mais des extraits de fleurs sauvages utilisés en soutien pour la santé. Il s'agit d'une solution sans aucun risque pour la santé.

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